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Mon n+1 est-il forcément un con ?

Ce n’est pas Sociacom qui le dit, c’est Society. La Une du quinzomadaire dévoilée le 2 octobre montre un mug, de celui que tout employé d’open-space pose sur son bureau, avec comme inscription: «Mon n+1 est un con»

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Le magazine de sujets de société aborde ici un problème bien connu: les rapports avec ses supérieurs. «La France a-t-elle un problème avec le management?» interroge Society. Apparemment oui. D’après un sondage de Yougov pour le compte du journal, en France, 46% des salariés estiment que leur manager a pour principale motivation son intérêt personnel. En Allemagne, ils ne sont que 39% et 35% au Royaume-Uni.

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En septembre, Boston Consulting Group amorçait un début d’explication à ce malaise. Le cabinet américain assurait que les managers français sont à bout de souffle. Dans une étude menée avec IPSOS, on apprend que ce constat touche particulièrement les Français. «85% d’entre eux trouvent leur métier plus compliqué qu’auparavant (vs. 81% pour la moyenne occidentale), explique BCG. Ils se sentent aussi plus débordés (78% vs. 71%), plus stressés (74% vs. 69%) et plus démotivés (59% vs. 52%). Ils sont enfin très pessimistes  sur l’avenir de leur fonction : 38 % pensent qu’elle aura disparu d’ici 5 à 10 ans.»  

 

Demain, tous managers ? Faut-il s’attendre à une répartition des responsabilités plus horizontales que verticales? La prise en compte des attentes des salariés n’ouvre-t-elle pas un nouveau champ des possibles vers la productivité ? 

 

Chez Sociacom, nous pensons que l’humain doit être au centre des décisions. En transformant les méthodes managériales via le Happiness Performance, l’entreprise peut être plus efficace, plus innovante et plus compétitive. 

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